mercredi 14 octobre 2015

Bonjour à tous.

Voilà un super débarras de château que nous sommes en train de faire.
Débarras de château




jeudi 8 octobre 2015

Casino deauville

Le grand casino de deauville. Ville où nous venons d'intervenir pour le débarras d'un manoir.

Photos éoliennes

Courant vert ! Courant d'air pour la planète. Bientôt les éoliennes offshore...

Maison deauville

Débarras maison deauville

Débarras manoir

Nous allons débarrasser ce manoir en 2 jours... débarras gratuit car les biens présent dépassent la valeur de notre intervention.. abnk-debarras

mercredi 7 octobre 2015

Dessin sublimes

Découverte. 150 sublimes dessins du XIXe, de l'oubli à la lumière


  • Jean-René RIVOAL
    Catherine Marie présente un dessin de 1845 de Joseph Le Dieu, sur lequel apparaissent des cabines de bain à Saint-Pair-sur-Mer.
    Catherine Marie présente un dessin de 1845 de Joseph Le Dieu, sur lequel apparaissent des cabines de bain à Saint-Pair-sur-Mer. | Jean-René Rivoal

Réalisés par un avocat avranchinais entre 1845 et 1876, ils ont été oubliés pendant 30 ans. Témoignages visuels rares du Sud-Manche, ils seront exposés à Paris.

L'histoire

Les trésors oubliés ont toujours alimenté l'imaginaire collectif. Pour Catherine Marie, jeune retraitée du pays granvillais, c'est une réalité. Elle en détient un depuis vingt ans, mais ne le partage que depuis cinq ans, n'ayant pas su quoi en faire avant, à part le préserver. Elle souhaite maintenant en faire profiter le plus grand nombre.
Catherine Marie devant un dessin retrouvé dans un vieux coffre chez ses parents.
Catherine Marie devant un dessin retrouvé dans un vieux coffre chez ses parents. | Jean-René Rivoal
« Mes parents avaient un vieux coffre dans leur garage, oublié depuis trente ans. Il aurait pu finir à la déchetterie à plusieurs reprises. Pourtant, un soir de 1996, nous avons décidé de l'ouvrir mais ne connaissions pas le code... Nous avons appelé toute la famille et fini par découvrir qu'il s'agissait des quatre chiffres de la médaille militaire de 14-18 de mon arrière-grand-père paternel. »
Coutances en 1874 : la cathédrale vue de la route d’Agon.
Coutances en 1874 : la cathédrale vue de la route d’Agon. | OF
Une collection de 150 magnifiques dessins, en très bon état, s'offre à eux. La mère de Catherine Marie se rappelle alors qu'il s'agit d'un cadeau de son oncle, brocanteur à Avranches, datant de 1936. Lors de son mariage, la jeune femme avait mis la collection dans ce coffre, puis l'avait oubliée.
Catherine Marie hérite de son contenu. « J'adore ma région et j'ai été très émue de voir le Sud-Manche dessiné avec autant de douceur, de tendresse, de précision. »
« Un intérêt historique, sociologique »
Un jour de 2009, elle téléphone au directeur des musées de la Manche pour avoir un avis. « La semaine d'après, le conseil général était à la maison, sous le charme des dessins. »
L'auteur de cette oeuvre, Joseph Le Dieu, était un avocat né à Avranches en 1815, mort en 1880. Ses tableaux exposés au musée d'Avranches ont été détruits par les bombardements, lors de la Seconde Guerre mondiale.
Il ne resterait que ses dessins réalisés de 1845 à 1876. Bien avant la photographie et les cartes postales, ils représentent Granville, Avranches, Coutances et leurs environs. La campagne, la plage, mais aussi des châteaux, demeures anciennes, manoirs, personnages... « Un véritable témoignage de la vie sud-manchoise d'alors, unique. Ces dessins ont un intérêt historique, sociologique et esthétique. Le port de Coutances, par exemple, pour le transport du bois, n'avait encore jamais été visualisé. »
La conservatrice en chef du musée d'Orsay à Paris trouve la collection, a priori inconnue en France, magnifique. Elle oriente sa propriétaire vers la fondation Taylor. Trois ans s'écoulent avant que le jury de la prestigieuse association ne donne un avis favorable. Seuls douze dossiers, sur plus de 500, sont retenus chaque année pour autant d'expositions. Une « très grande émotion »pour Catherine Marie.
Exposition à la Fondation Taylor, 1, rue La Bruyère, à Paris, du 4 au 23 janvier 2016. La collection Promenades au crayon ; dessins inédits de Joseph Le Dieu, a été éditée chez Orep, en 2011, par le conseil général de la Manche.

#Débarras#Bretagne# direction Caen pour un débarras de maison. Voici quelques photos de la région. . Notre site http://www.abnkdebarras.com

Toujours plus de tri dans les déchetteries

  •   

Certaines fermeront. D'autres évolueront. De nouveaux équipements verront le jour. Soumise à davantage de normes, l'organisation des déchetteries va être entièrement revue.

Nos déchets ont de la valeur
Datant de 2003 et dépassé, le schéma qui régit l'organisation des déchetteries de Rennes métropole a été entièrement revu. « Parce que de nouvelles communes ont intégré la métropole, que les normes ont évolué et que de nouveaux équilibres étaient à trouver pour les usagers du sud de l'agglomération, moins bien pourvus », présente Olivier Dehaese, vice-président de Rennes métropole en charge des déchets. Et parce que « la hiérarchisation des modes de traitement place le réemploi et la réutilisation en tête, avant le recyclage, la valorisation énergétique et l'élimination ».
De 4 à 12 bennes
Conséquence de la valorisation des déchets, toujours plus importante, le nombre de bennes par déchetteries a considérablement augmenté. « On était à quatre dans les années 1990 ; on arrive à 10 ou 12 aujourd'hui et on ira au-delà », poursuit Olivier Dehaese. Exemple : le bois. Aujourd'hui, on ne jette plus dans la même benne celui qui est traité et celui qui ne l'est pas.
Et plus on multiplie les bennes, plus on a besoin d'espace. D'ailleurs à côté des bennes classiques, le ramassage associatif se multiplie. « Certaines déchetteries accueillent des caissons de réemploi Emmaüs, les bornes de ramassage de vêtements du Relais ou encore d'Envie, qui récupère l'électroménager pour le rénover », détaille Marie Neuschwander, responsable déchets à la métropole. Enfin, des bennes de récupération pour le mobilier, y compris les matelas, voient le jour. « Il existe une filière de démantèlement et de valorisation des matières, en lien avec Éco-mobilier, Envie et Veolia. »
Plus sûres et plus propres
Parallèlement aux exigences de surfaces, le durcissement des normes - « elles visent à protéger l'environnement, mais également les usagers et les employés » - impose des aménagements. Cela va des garde-corps systématiques pour éviter les chutes aux locaux fermés et résistants au feu, ventilés et équipés de détecteurs incendie pour certains déchets dangereux, comme les produits chimiques.
« Chaque déchetterie devra également avoir son bassin de rétention », précise Olivier Dehaese. Pas question en effet de laisser filer dans la nature de l'eau qui aurait pu servir à éteindre un incendie, potentiellement polluée.
Déchets verts
Le Métropolitain est un bon élève : il trie beaucoup et jette moins que la moyenne nationale (476 kg par habitant et par an, toutes filières confondues). Sauf pour les déchets verts. Tontes de pelouses et tailles de haies occasionnent le plus grand nombre de déplacements en déchetterie. C'est pour cela qu'en plus des 18 existantes, Rennes métropole dispose de cinq plateformes uniquement dédiées aux déchets verts (Clayes, Brécé, L'Hermitage, Le Rheu et Saint-Sulpice-la-Forêt).
« Le précédent plan prévoyait que chaque habitant soit à moins de 5 km d'un dépôt de déchets verts », rappelle Marie Neuschwander. Cela n'est plus satisfaisant. La prochaine étape vise à réduire les tonnages récoltés. « On va sensibiliser au broyage des déchets verts et au paillage. » Avantages : moins d'arrosages et de mauvaises herbes. « On peut aussi privilégier les espèces végétales à croissance modérée », poursuit Marie Neuschwander.
Déchets verts à Rennes
Ne disposant que de trois déchetteries pour 210 000 habitants, alors qu'elles sont quinze pour 220 000 habitants pour le reste de la métropole, les Rennais bénéficient d'un ramassage de déchets verts en porte à porte. « Il est impossible d'imaginer que chacun amène ses déchets avec sa remorque le samedi, alors que les trois déchetteries sont déjà saturées. » Si la collecte en porte à porte n'est pas remise en cause, là aussi les habitants devraient être invités à broyer du vert...